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13/10/2012

CHARLY: 4

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A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...


 

CHARLY

4


-- Ça y est, voilà autre chose maintenant!...

 

 

Il y a Charly qui réclame ma compagnie on dirait!

Charly, c'est Koï-Koï, et le Koï-Koï en question, c'est mon pote. Et même que c'est un Cochon d'Inde. Son surnom, pas mal étrange je l'admets, est justifié par le fait qu'il est extrêmement bavard et qu'il Koï-Koï en permanence, pour tout, et le plus souvent, il faut bien le dire, pour rien.


Alors bien sûr, il a son domicile personnel, mais – et bien qu'en théorie personne ne lui ait jamais donné la permission officielle de le faire – en deux temps et trois mouvements, il sort prestement de chez lui et fait un tour dans la maison en Koï-Koïant de fort expressive manière.

 

Et puis, ce qui ne gâte rien, il est d'un classieux, il faut voir!.... Angora et multicolore avec, fin du fin, une extraordinaire crête à l'iroquoise tout à fait punk que je n'ai encore jamais rencontrée chez aucun de ses congénères! Qui de plus lui va super bien, crois-moi.


A franchement parler, j'ai beaucoup d'affection pour lui, et pour de multiples raisons. La principale étant certainement la réelle complicité, et plus peut-être, qui est la nôtre. Allez, allons jusqu'à... affinités, c'est dire!

Je sais bien, je ne suis dupe de rien, que les mots ont parfois la fâcheuse tendance d'entraîner à l'exagération mais tout de même, imagine un peu: une grâce légère, une extraordinaire limpidité dans le regard et aussi un sourire confondant et tellement énigmatique...

Je ne te décris pas-là une quelconque créature chimérique, non! Juste un Charly punk, pas mal raffiné de son état, qui a la vie à fleur peau, et dont le comportement général, à lui seul, est une forme évoluée de langage.Un régal!


(A suivre...)

OLI & THE LP'S au "BIKINI" de TOULOUSE le 27 Janvier 2012

 

OLI & THE LP'S

Le "BIKINI" 

TOULOUSE

27 Janvier 2012

A les écouter, nous nous rerouvons rapidement projetés dans le meilleur de la Soul, disons au coeur des années 1970.... celles-là mêmes qui ont accueilli au plus chaud de leur famille une foultitude de pointures tel que Sam COOKE, Johnny TAYLOR ou bien encore Otis REDING le seul, l'unique, LE PLUS GRAND) Les Animals d'Eric BURDON pour ne citer qu'eux!
Avec de telles influences portées par d'aussi prestigieux prédécesseurs....

12/10/2012

LE JOURNAL DE PERSONNE: "PERMIS D'EXISTER"

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

 

 Superbe et talentueuse...

 

  A l'écriture riche et précise.

 

  Il est important de ne pas passer à côté!

 

  Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!

 

  http://www.lejournaldepersonne.com/  Ou sur sa chaine Youtube:

 

  http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U


 

LAHO !
Je sais qu’on dit Holà
Désolée monsieur l’agent holaho!
Mais je vous ai pris pour un juif espagnol
Même si ça ne court pas les rues
En revanche… ça sillonne votre parcours
Non, ce n’est pas une déclaration d’amour… c’est de l’humour
Que puis-je pour vous jeune homme ?

Non, je n’ai pas mon permis de conduire… ça vous étonne?
Ça ne m’étonne pas… que ça vous étonne…
Désolée mais pour moi, tout n’est pas objet d’étonnement
Non, je ne cherche pas ma route… même si elle était toute tracée…
Je cherche ce qui me déroute… les voies sans issues, les sens interdits, les chemins qui ne mènent nulle part.
Non, je n’ai jamais feuilleté un code de la route
Et pourtant, j’en ai parcouru des distances… Sur le plan de… l’existence

Parce que vous existez, vous croyez que l’existence vous dispense d’un code de conduite?
Détrompez-vous ou jetez un œil autour de vous… ou à l’intérieur de vous…
Et vous verrez le nombre incommensurable de blessures, d’humiliations et d’offenses…
Avec le plus souvent des plaies qui ne se referment jamais.
Si on était seuls sur la route, on n’aurait pas besoin de permis… je vous le concède.
Mais comme il y a les autres, la moindre des choses, c’est de ne pas leur rentrer dedans! C’est l’évidence même… monsieur l’agent!

Donc le tout est de savoir conduire… pour vous.
Mais pour moi, il y a plus essentiel encore :
Savoir SE CONDUIRE. Se conduire dans l’existence.
Sans aller jusqu’à exiger des permis d’exister…
Parce que nous ne serons pas nombreux à l’obtenir…
On peut toutefois y réfléchir…pour de vrai. Oui ici et maintenant !
Une morale provisoire disait Descartes, pour ne pas se marcher dessus sous prétexte qu’on n’est pas censés savoir où mettre les pieds.
Une seule question, qui précède toutes les autres sur le plan pratique :
Comment faire pour ne pas passer pour un casse-pieds?
Si tout le monde se posait la question, on changerait tous de maintien. De moyens… de transports. De chemin…
Alors, un conseil, élaborez un petit code de conduite en vous disant que les autres finiront peut être, par en faire autant…
Rien que pour vous suivre ou vous survivre.
N’ayons pas peur de la loi !
Vivons la vie !
Comme ça nous fait envie mais en observant un, deux ou trois principes… sans lesquels aucune peine ne vaille la peine!
Vous voulez vraiment savoir sur quel pied je danse?
Non… vous voulez savoir ce qui me fait prendre mon pied!
Le pas de danse, un peu, beaucoup, passionnément. Ah! Si vous saviez!
Je me suis toujours prescrit la même ordonnance:

1- un principe de référence ou de préférence parce qu’il faut toujours que le désir soit à la base de l’édifice… ce sur quoi toute votre vie repose.
La liberté ou la peur du danger = que choisir ?

2- un principe de cohérence
C’est le plus simple et le moins facile
Car il s’agit d’observer sa préférence en toutes circonstances
Ne pas s’en écarter, ni dévier d’un pouce… attention, liberté !

3- et en dernier, un principe de convergence
C’est le plus magique puisqu’il s’agit de vous associer à d’autres volontés pour faire triompher la cause qui vous semble la plus juste.

Qui de nous deux doit obtempérer ?

CHARLY: 3

 

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A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...


 

CHARLY

3

 

 

Donc, je suis bien installé disais-je, devant ma feuille blanche. La maison dort d'un sommeil bien mérité. Ce pourrait être le silence si je n'avais décidé de connecter la radio sur, tu sais, une de ces innombrables et ineptes fréquences pour jeunes impossibles à éviter.

Comble d'immodestie elles s'enorgueillissent d'émettre en modulation de fréquence. Ca en jette! Et ça les rend redevables, croirait-on, d'avoir pour mission numéro un inscrite dans leur cahier des charges, de balancer avec une grande régularité ce qu'il faut bien avouer être un ersatz de musique. Et pire encore, elles le font!

Mais bon, c'est justement pile-poil ce qu'il me faut, ça tombe bien. Parce que, imagine un instant qu'elle me diffuse aux oreilles – même par le plus grand des hasards, même sans le faire exprès – la musique que j'aime, celle qui m'impulse l'intérieur et m'ensoleille le cœur!...

Pour le coup mes timides velléités d'écriture se transformeraient rapidement en une lourde mélancolie de circonstance. Et , conséquemment en un bel étalage de médiocrité spontanée. Tout en considérant bien sûr que, bonne musique ou pas, nul n'est à l'abri d'être en position avantageuse en ce qui concerne le dit étalage.


(A suivre...)

 

EXIL A OUESSANT: De la crise grecque à la tempête

EXIL A OUESSANT


De la crise grecque à la tempête


« Ici, tu es hors du monde »

(12’36’’)


Poussés par la crise, Nikos, Marie et Raphaël ont vendu leurs biens et quitté Athènes pour l'île d'Ouessant en août 2011. Un acte à la fois politique et artistique : Nikos Vlandis avait écrit il y a quelques années un roman futuriste, "l'Ile des écrivains", qui se déroule sur cette île bretonne battue par les vents. Pour Nikos, c'est une démarche philosophique, presque spirituelle : "vivre le livre", mêler la littérature et la réalité. Mais il faut vivre de publications et de traductions, affronter la solitude et les tempêtes au large du finistère...

Enregistrements : mars 12
Mise en ondes & mix : Arnaud Forest
Réalisation : Nicolas Oudin

11/10/2012

Joe DASSIN et Jeane MANSON: "Le petit pain au chocolat"

 

Joe DASSIN et Jeane MANSON

"Le petit pain au chocolat"

Numéro un 

02/07/1977 

02min50s

 

Joe DASSIN chante "Le petit pain au chocolat" aux côtés de Jeane MANSON qui joue le rôle de la boulangère. Présence de figurants. Applaudissements du public

 

Production

 

Annonceur, Boulogne : Télévision Française 1

Générique

 

Pradines, Roger

 

Dassin, Joe

 

Manson, Jeane

JE M'ACCUSE 21

 

JE M'ACCUSE.jpg

 

Je m'accuse d'emprunter,

Par faiblesse ou par lâcheté,

Le chemin caillouteux de la solitude

A chaque fois

Que je m'éprouve vaincu

Par la puissance dévastatrice

Des illusions définitivement perdues.

LA MINUTE NECESSAIRE DE MONSIEUR CYCLOPEDE: "IGNIFUGEONS LOUIS XVI".

 

IGNIFUGEONS LOUIS XVI

24/03/1983

01min28s

 

En 1783 avant de montrer un feu d'artifice royal on ignifugeait Louis XVI. Il eu mieux valu que ce fut Jeanne d'Arc.

 

Production

 

Agence, Paris : France 3

Générique

 

Fournier, Jean Louis

 

Desproges, Pierre

10/10/2012

LE JOURNAL DE PERSONNE: "LES SERVEURS DU POUVOIR"

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

 

 Superbe et talentueuse...

 

  A l'écriture riche et précise.

 

  Il est important de ne pas passer à côté!

 

  Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!

 

  http://www.lejournaldepersonne.com/  Ou sur sa chaine Youtube:

 

  http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U


 

Les serveurs du Pouvoir
Mais si… vous voyez bien de qui je veux parler
Non, pas du pouvoir… mais de ceux qui le relayent
Ceux qui reproduisent les mêmes effets, même en modifiant les causes
Because beaucoup d’inhibitions…
of course… c’est la course à l’exhibition.
Du jour au lendemain, le dernier des damnés s’est retrouvé
Rédacteur en chef de son propre journal
C’est la marre aux canards … serveurs asservis… et rarement desservis
Ne vous en faites pas, je balaye toujours devant ma porte
Et je ne m’épargne jamais… oui je suis de la mêlée
Et moi aussi, j’en fais les frais

Oui, nous n’avons jusqu’ici
Rien fait d’autre que reproduire l’évènement
Analyser des analyses, commenter des commentaires, et interpréter des interprétations
Sans jamais vraiment les transformer
Sans jamais créer d’événements
Serveurs du pouvoir, de ce pouvoir que nous avons beau épingler ou caricaturer …
Nous ne faisons rien d’autre que le servir en croyant s’en servir
Je veux parler du quatrième pouvoir… celui de la presse
Celui qui ne cesse de reléguer au dernier rang ses devanciers
Oui, il est bien Avant-premier
Et nous ne sommes pas les derniers à le subir de plein fouet
Nos autres blogueurs et chroniqueurs à nos heures
Nous singeons des singes… nous parodions une parodie
Nous sommes de l’intox au carré,
de vulgaires serviteurs de la non vérité
comme valeur rajoutée à la fausseté
C’est le marathon des faux jetons
Comme si nous avions tous décidé d’un commun désaccord
de la faire cette course pour ou contre la montre !
Pour dire qu’on a quelque chose à redire
Puisque nous n’avons le plus souvent rien à dire
Démocratie participative de mauvais chirurgien
Qui vous soigne les canines et vous arrache les incisives.

Nous croyons y être mais nous n’y sommes pas
Nous arrivons toujours après
Avec notre bout de papier
Écrivains sans veille ni lendemain
Pour afficher notre vision du monde
Encore plus vieille que le monde
Et le plus drôle ou le moins drôle
C’est qu’au lieu de nous associer
En créant une synergie
Nous nous tirons dessus comme des abrutis

À peine né, le pouvoir des internautes est déjà mort
Parce que la course est courue d’avance
Par de faux athlètes qui n’ont toujours pas compris
Qu’il fallait courir devant et non après
Et que leur seul adversaire c’est la vanité
Parce que la vérité, il ne faut pas trop y compter
Elle nous a déjà fait des petits dans le dos

Imagination au secours !
Sans toi plus personne ne verra le jour

GALIM: Espace des AUGUSTINS de MONTAUBAN

 

GALIM

Espace des AUGUSTINS 

MONTAUBAN

9 Octobre 2012

 

Voilà qu'insérés au souffle grondent de lointains ouragans échappés d'un ciel d'hypothèses
Tandis qu'un trait de voix tremblée épice la durée et fait coïncider la chair de l'instant à un désormais qui titube.
Ton écho s'éloigne et la vie qui reprend s'est chargée grâce à toi d'un vertige de possibles. D'un pollen d'amour vibrant et propagé naissent déjà d'autres fleurs perlées d'émotion, lourdes de sourires à cueillir....

Pour cet encore Beau Moment que tu viens de nous offrir Grande Dame GALIM, je n'ai que des Mercis à offrir....Et c'est ridiculement peu.

CHARLY: 2

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A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...


 

 

CHARLY

2


 

Tiens? Comme un ronronnement dans le ciel!

Je me pose, le temps d'un bref instant, l'ombre d'un début d'interrogation. Vite résolue l'énigme. En levant la tête je reconnais immédiatement notre habituel petit avion de l’aéropostale. Celui-là même qui, de tous ses clignotements lumineux et de l’harmonie cadencée de ses deux moteurs à hélice, transporte son chargement de courriers laconiques ou de lettres pathétiques. A moins qu'il ne s'agisse plutôt des singulières symphonies d'un mélomane des mots, ou d'autres choses particulières aux significations infinitésimales.

Juste le temps de ma réflexion un brin nostalgique, et déjà le voilà qui s'évanouit dans son paysage céleste escorté sous l’œil protecteur de la lune et les sourires rassurants des étoiles. Disparition lente et progressive dans l'immobile d'un silence qui rapidement devient le sien.

La fraîcheur nocturne, bien perceptible maintenant, me décide à rentrer tant je ne tiens pas plus que ça à me laisser agresser par cette baisse de température. Bien qu'elle ne soit, c'est vrai, nullement intempestive compte tenu de l'heure présente.


(Asuivre....)

 

Abdoulaye SANE: "Chanson d'automne" (Paul VERLAINE)

 

Abdoulaye SANE

"Chanson d'automne"

(Paul VERLAINE)

Entre la chanson et la poésie récité en souvenir de mes années scolaires, je compose la percussion qui va avec ce poème du grand Paul Verlaine.
donner vie aux mots par la parole et le son de la percussion est une passion et merci de m’avoir permis de me faire écouter